Le SEA milite pour la suppression du délai de latence de six mois post-départ à SIG

Le SEA agit pour obtenir la suppression du délai de latence de six mois, après le départ des collaborateurs-trices, pour transmettre la connaissance.

Une intention louable mais problématique

La direction de SIG justifie cette période de latence en affirmant qu’elle permet de vérifier l’utilité continue du poste à la lumière de l’évolution des activités de l’entreprise. Si cette intention semble louable, elle pose toutefois des problèmes concrets sur le terrain. En effet, le volume de travail des collègues restants augmente significativement, créant une surcharge pour des équipes parfois déjà sous pression.

Préserver le savoir-faire et les connaissances

Pour éviter la perte de savoir-faire et de connaissances, le SEA propose d’examiner la pérennité des postes au moins six mois avant le départ d’un collaborateur ou d’une collaboratrice. Cette démarche anticipative permettrait de maintenir la continuité du service et de réduire la pression sur les équipes restantes.

Cette demande a été évoquée lors du Parlons-en et soutenue par la Commission du Personnel.

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