Journal Grand Angle

nous avons dénoncé pour ne pas renoncer, nous avons pris le risque de fâcher pour ne pas céder et nous avons franchi le Rubicon. Nous avons fait le choix de l’honnêteté et de dire tout haut ce qu’une partie des employés qui ne s’expriment pas dans les « Dialogues » et autre « Pulse » pensent tout bas.

Le SEA s’engage pour le maintien des postes au sein de SIG. Cet engagement syndical a débuté avec la réduction des effectifs dans les activités historiques, les réseaux et les centres de conduites.

Depuis deux ans, certains rédacteurs et certaines rédactrices des pages Opinions syndicales du Grand Angle, ambassadeurs et ambassadrices de la parole du personnel, tiennent des discours qui ne plaisent guère a nos dirigeant·es.

À l’image d’autres grandes entreprises, la lutte contre le harcèlement est devenue une priorité pour SIG. Le SEA s’en réjouit et soutient une telle politique. Il n’en reste pas moins qu’elle semble difficile à concrétiser et diriger plus spécifiquement sur un thème unique.

Près de 45% des salariés se sentent fréquemment stressés par leur travail.

Depuis plus d’une année, la COVID nous a forcés à nous réorganiser.

Nous assistons à un développement asymétrique au sein de SIG. Les métiers-coeur de SIG subissent des réductions d’effectifs.

La crise : un prétexte pour ajuster le système de prévoyance en notre défaveur ?

Durant ces dernières années, notre société au sens large a mené des projets de refonte de ses fondements.

L’égalité des sexes est inscrite dans la Constitution, mais ne se traduit pas encore dans les faits.